LAVORAZIONE CORALLI E CAMMEI

VINCENZO SANTA LUCIA
LAVORAZIONE CORALLI E METALLI PREZIOSI

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Techniques de travail du Métal
Techniques de travail du Métal. Le Métal, travaillé pour l'orfèvrerie, part de la préparation de la ligue. Les ligues, en Italie, sont réglementées par la loi qu'il en fixe le titre. Le titre représente la quantité de métal précieux qui est dans une ligue. Le titre moindre de la ligue d'argent,accordé de l'État italien est de 800/1000, donc les titres 835/1000 et 925/1000 sont accordés aussi. En ce qui concerne l'or, le titre est 18 carats qu' il équivaut au 750/1000.

Préparée la ligue, il se fond en verges, que, puis, pour laminage, elles viennent transformées en bouts de dimensions manufacturables plusieurs aisément. Le travail se répartit en beaucoup de typologies. Les plus importantes ils sont :


Travail au banc
Le travail au banc consiste à réaliser le bijou, en agissant directement, depuis le moment premier, de manière mécanique, sur le métal.
Les instruments utilisés pour le travail du métal sont :
  • Tubes (pour fondre ou pour effectuer soudures )
    Tubes : pour fondre ou pour effectuer soudures
  • Laminoirs  (pour laminaire le métal en plaques ou en fils )
    Laminoirs : pour laminaire le métal en plaques ou en fils
  • Filières (pour le réduire aussi en fils très minces avec section circulaire, )
  • Limes (de différent genre pour l'user et le finir, )
  • Dentelle (pour couper le métal et exécuter des percements, )
  • Burins (pour enchâsser pierres ou graver dessins ou décorations sur le métal)
  • et nombreux autres petits et grands instruments

Travail à la cire perdue
Le travail à la cire perdue partie du modelage de la cire.On obtient un modèle avec la forme désirée qu'il subit encore des traitements pour passer de la cire au métal. À ce point, on continue à travailler l'objet au banc
Les phases du tarvail à la cire perdue :
  • Modelage objet : la modelage se produit avec des méthodologies différents, en base à la cire utilisée. Les cires, en effet, sont de différents tipologies :de celles très souples à celles si dures de pouvoir être travaillées avec les limes d'orfèvrerie.
  • Studio e attacco di getti in cera : Étude et attaque de jets en cire : qu'il consiste à ajouter au modèle des conduits de cire qu'il serviront de canal pour l'écoulement de la cire et à l'introduction du métal. Phase importante parce qu'il décrétera la réussite de la fusion et les difficultés de nettoyage du bout.
  • Costruzione del alberello :on réalise un arbrisseau en cire, où les branches sont représentées des modèles à fondre ; à la base de l'arbrisseau on réalise la « materozza » qui est une masse de cire; au moment de l'introduction du métal la « materozza » aura le but d'augmenter la pression du métal fondu et donc de la fidélité à la forme du modèle.
  • Construction de la coquille: on définit coquille la craie réfractaire qui se coule autour de l'arbrisseau ; la craie est coulée dans un récipient métallique à forme de cylindre.
  • Phase de colature de la cire: la craie (avec toute la structure cylindrique de métal) va mis dans un four pour faire couler la cire et donc, au sien interieur elle restera la silhouette vide de l'objet.
  • Fusion et introduction:le métal fondu s'injecte pour force centrifugeuse ou pour tourbillon, obtenu par la création du vide (système vacuum)
  • libération : l'arbrisseau, maintenant, en métal est liberé de la craie en le plongeant ancre chaud dans l'eau.
Techniques de travail du corail
Le corail est utilisé, soit comme pierre précieuse en bijouterie, soit dans la fabrication d'objets artistiques et décoratifs. Deux sont, en extrême synthèse, les secteurs de production : la "liscio"e la "gravure".
LISCIO.
Le lisse est le travail à caractère plus seriale, à son tour, en passé distingué, en "cercle et rond" et "chose d'usine". Pour travail à lisse, on entend la réalisation d'ouvrages pour la bijouterie de forme géométrique, qui est obtenue par ablation de matériel au moyen de scies, masse abrasive, limes etc. Le cirage est obtenu au moyen de « burattatura » ou pour cirage à la cire.

 
fase di lavorazione del corallo molatura con mola ad acqua
relizzazione a mano con mola ad acqua di un pallino in corallo
PHASES DE TARVAIL
  1. Choix du corail brut : le matériel brut, pêché, est lavé et, second dimension, forme et couleur, divisé, pour en pouvoir ensuite choisir la plus convenable utilisation. Particulier est la terminologie pour distinguer le corail brut à travers la grosseur : « terraglio », sommets et rameaux subtils ; « terraglione », rameaux plus gros ; « barbaresco », branches de 4-5 mm de diamètre ;corp, branches d'au-delà de 55 mm. « monstra » une partie de majeure grosseur; « paccottiglia », troncs plus droits et sans ramifications.
  2. Coupe : il se déroulait sur un banc spécial de bois, en gravant le bout premier avec une lime d'acier à triangle, ensuite plus profondément, avec une épée à scie et en le coupant, finalement, avec une grosse tenaille. Maintenant généralement ils s'emploient des disques minces diamantés.
  3. Criblage : le corail, déjà coupé, divisé à des groupes et sélectionné pour couleur,il passe pour une série de cribles du fond de laiton, avec des trous graduellement plus grands, pour obtenir des diverses parties de différentes mesures;
  4. Crevaison : on utilisait une petite perceuse à arc munie de pointe d'acier, le corail était percé ou à « passage», c'est-à-dire de part en part, pour être enfilé en colliers ; ou à « demi-trou», dans le cas de boutons, de petites oules,pendules à fixer sur des pernis; maintenant on utilise des moteurs électriques.
  5. « nivellement» : dans telle phase, le corail, enfilé dans un fil de ferre rigidement tendu,il est dégrossi sur une meule de pierre grès;
  6. Aigusage ou Arrondissage : c'est le modelage. Pour la « chose d'usine », était effectuée avec une grosse meule, actionnée à la main. Pour le « cercle et rond », il fallait une autre finition avec une lime d'acier trempé à la pointe, dite « carrelet », pour rendre parfaite la courbe de la petite balle; maintenant les instruments ne sont pas plus manuels mais électriques.
  7. Dépuration de la couleur pour rendre au corail sa couleur naturelle et le rendre plus vis, il est plongé dans un bain d'eau oxygéné;
  8. Cirage (Astiqué) : les coraux étaient placés en sachets de toile ou de barils bemués excentriquement, ensemble à l'eau savonnage, poussière de ponce et de corne de cerf calciné, pour exploiter l'action abrasive de telles substances ; maintenant cette opération est effectuée avec des barils à moteur électrique.
  9. Assortiment : les coraux sont ultérieurement sélectionnés second misure, couleur et qualité;
  10. Enfilage: les coraux, si assortis, sont composés en fils de longueur différente;
TYPES DE TRAVAIL ANCIEN
  • Franges :des files composés de cimes minces de corail, longues des 5 aux 50 mm environ, troues en sens horizontal en proximité d'une des deux bouts ; la longueur des coraux est digradante du centre vers les bouts;
  • Cassés : des files composés de petites cimes de corail long du 4 aux 10 mm environ, troués au centre en sens horizontal;
  • Rocchielli : petites sommets de cimes de corail peu plus épais des cassés, droites et avec les bords tournés légèrement;
  • Cupolini :« rocchielli » aux pointes complètement tournées;
  • Demi finis :petits troncs de corail semblables aux « cupolini », mais travaillés au centre de façon à diminuer le épaisseur. Celà permettait grande adhérence à encastrement entre les coraux, de sorte à en rendre plus épaisse la séquence ;
  • Finis : autre travail des demi finis : qu'il permettait d'obtenir deux petites balles unies entre eux. Dans le point d'union le trou était pratiqué pour enfilage;
  • Cannettine: petits troncs droits, de mesure et épaisseur variables, polies de façon à assumer une forme cylindrique et troués en sens longitudinal;
  • Mezzania : « cannettine » très courtes (jusqu'à un maximum de 6 mm), avec les bords émoussés;
  • Chiattelle : rondelles de corail, plus ou moins épaisses, avec les bords arrondis;
  • flotticelle : cylindres de corail à peine émoussés aux bouts. Ils étaient prêts en fils de 45 à 240 cm. de longueur;
  • Petites olives : des coraux à la forme d'olive, plus ou moins allongées;
  • Corpetti : petits globes de corail, de longueur légèrement inférieure aux tonnelets;
  • Corps : « corpetti » légèrement plus grands (4-5 mm de diamètre);
  • Filotti : aujourd'hui dénommés "corail d'usine",ils ont forme semblable aux corps mais de grandes dimensions;
  • Rond : petites balles parfaitement sphériques
  • Maometti : petites troncs longs du 3 aux 5 cm. et 8 mm épais et troués en sens longitudinal. De ces travaux seulement aujourd'hui quelques unes sont encore en usage;
  • Colletti: fils de longs 18 cm.cassés;
  • Sciarpe : cassés et « rocchielli » longs environ 120 cm.;
  • Fil de grosseur: fil dans lequel ils étaient recuelli les coraux plus grands de la partie travaillée;
  • Bouquets de grosseur : bouquets formés d'un fil de grosseur et 24 files entre eux égaux pour forme et dimensions;
  • Couettes: petits fils qui'ils recueillaient peu de grains de corail très gros;
  • Caporesti : bouquets de fils de 6 aux 12 mm. d'épaisseur qu'ils atteignaient un poids de 250 gr. chacun;
  • Fils accoués : fils avec des coraux de la même coupe mises en ordre décroissant au centre vers les deux bouts;
  • Fils égaux : fils avec des coraux de la même coupe et de la même grandeur.

La GRAVURE

La gravure du corail permet d'obtenir des ouvrages des formes les plus disparates et, malgré les tordues et complexes et peu prévisibles traits du corail, on obtient dans quelques cas des sculptures véritables. La gravure, comme dans le tarvail à «liscio», il arrive pour ablation de matériel. Les instruments utilisés sont au- delà des scies,la masse abrasive, limes, autres instruments qui permettent la plus grande précision, quels burins et fraises. Les fraises sont utilisées grâce à des motrices électroniques; ils peuvent être de matériels et de dimensions très différentes. Les fraises les plus utilisés, sont avec des as en acier et tête ou en carbure de tungstène ou en émeri ou en diamant.
burins  La suivante image a été tirée grâce au consentement de l'auteur du sitewww.ludovicodelia.it La suivante image a été tirée grâce au consentement de l'auteur du site www.ludovicodelia.it
Les burins sont des petits ciseaux très tranchants du manche ample. Ils sont utilisés avec un petit chiffon qui aide le graveur à faire glisser la lame de la manière correcte.
BULINI E FRESE La suivante image a été tirée grâce au consentement de l'auteur du sitewww.ludovicodelia.i
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Les fraises, appliquées aux micromoteurs électriques, permettent une ablation du matériel plus facile et rapide de ce qu'on puisse faire avec les bulini mais on n'obtient pas les mêmes effets de la superficie.

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Réalisation LUDOVICO D'ELIA Méduse :: coraux :: 3,7x3,4x0,7 cm

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Réalisation LUDOVICO D'ELIA
la peur de médiocres 1998 :: coraux, or, marbre ::12x7x7 cm
Vincenzo Del Pezzo pendant qu'il est but à la préparation d'une branche brut de corail pour le travail d'une statue
Vincenzo Del pezzo pendant qu'il est but à la préparation d'une branche brut de corail pour le travail d'une statue
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Réalisation LUDOVICO D'ELIA Petit cheval marine 1999 - 2002 ::corail, or, nacre :: 8 cm

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Réalisation LUDOVICO D'ELIA
la vanité 1999 :: corail :: 14x4x4 cm


 


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